samedi 10 mai 2014

Fantasme : Une rencontre fortuite : Première partie.


Se dévoiler...
Une chose qui n'est pas encore facile pour moi à l'heure actuelle, j'ai toujours peur d'être jugée.

Je vous retranscris ici;
L'histoire d'un fantasme.
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Image d'internet.
" Le métal froid s'insinuant sous l'élastique de sa culotte et entrant en contact avec sa peau, elle ne peut réprimer le frisson qui la parcoure de la tête aux pieds. Personne ne l'entendra crier, ici, dans ce terrain vague en friche...

Nous sommes en périphérie de la ville, juste derrière un grand axe routier, les bruits incessants de la circulation couvrant à peut près tout ce qui pourrait se passer ici...
Elle est debout, face à lui, son pantalon aux chevilles et un canon de 6'' dans la culotte. Il la regarde dans les yeux et elle ne sait pas jusqu'où il serait prêt à aller pour parvenir à ses fins.

Elle ne réside pas loin d'ici, et il l'a suivie lorsqu'elle rentrait chez elle, en ce milieu de nuit frais et légèrement pluvieux de Septembre. Elle passait devant ce terrain vague, comme toujours, perdue dans ses pensées...

Elle ne l'a pas vu arriver, entièrement vêtu de noir, blouson de cuir, jean skinny retroussé et commando boots. Lorsqu'elle a senti son bras s'enrouler autour de son cou, il était déjà trop tard.

Elle s'est débattue... Bien sûr. Mais elle a comprit que cela ne servait à rien, qu'elle n'aurait d'autre choix que d'obéir, lorsqu'il a sorti son flingue, un Python de 1958, et qu'il l'a mis sous sa gorge.

Il l'a poussée dans ce terrain sombre et boueux, empruntant un trou dans le grillage, Ils firent quelques pas et il lui dit de s'arrêter ici, derrière ce monticule de déchets métalliques les isolant encore un peu plus de l'agitation de la ville.

Le canon s'insinue sous sa culotte et il lui ordonne de retirer son haut. Ses tétons pointent par le froid de cette nuit d'automne, et il les prend entre ses doigts, pinçant doucement d'abord,
la pression s'intensifiant progressivement, jusqu'à ce qu'elle ne sache réprimer un gémissement...

Ses lèvres entrouvertes lui donnent envie, et brutalement sa main vint se plaquer contre sa nuque, poussant ses lèvres contre les siennes. Il les embrasse de force, il les mords alors que son canon baisse lentement sa culotte, un courant d'air froid caressant son sexe fraichement épilé.

Il ôte entièrement sa culotte et lui ordonne alors d'écarter les jambes, elle sent le métal glacé s'insinuer entre elles, frotter contre ses lèvres, la pénétrer doucement et y entrer presque jusqu'au barillet. Elle tremble, il mord sa lèvre inférieure jusqu'à la faire saigner, tandis que l'étau de sa main derrière sa nuque se resserre.

Soudain, elle entend ce petit cliquetis métallique caractéristique, et il l'enjoint à ne pas bouger d'un pouce, tout mouvement brusque et involontaire pouvant avoir des conséquences dramatiques.

Sa main qui est sur sa nuque descend le long de sa colonne vertébrale, tout doucement, jusque son coccyx, ses fesses... Il les caresses et elle est surprise de cette douceur soudaine... Sa main vient se poser sur son sexe et commence à la caresser. Ses doigts titillent son clitoris, et bien que le stress l'emporte sur l'excitation, elle est bientôt parcourue de décharges électriques, et chacune d'elles l'emplit d'effroi, car si elle veut vivre, elle ne doit pas bouger.

Il la regarde dans les yeux pendant qu'il la masturbe, elle ne sait si elle doit répondre à son regard ou baisser les yeux...

Il sent la peur dans son regard, et comme une supplication d'arrêter ce jeu dangereux, inconscient, de retirer, cette arme de son sexe... Il lui crache au visage, et bouge un peu le canon en elle pour jouer avec sa peur. Puis le retire...

Il presse sur sa tête et l'invite à s'agenouiller, le flingue est maintenant contre sa tempe et il lui ordonne de sucer, les genoux par terre dans la boue, il sort son sexe et l'y applique, il fait sombre, mais le clair de lune lui permet de distinguer son visage adorable et sa bouche ouverte engouffrant son membre, il lui dit de le regarder dans les yeux.

Il la tient par les cheveux et lui tire la tête en arrière en lui ordonnant d'ouvrir la bouche alors qu'il crache dedans. Elle sent le cuir froid de sa botte commando appuyer contre son sexe, elle rougit...



 " Je veux que tu fasses tout ce que je te demanderais. Le feras-tu ? En as-tu seulement le choix ?
Regarde-moi dans les yeux pendant que je te crache dans la bouche, et dis-moi que tu feras tout ce que je t'ordonnerais. Même les choses les plus inavouables ! "

Il lui saisit à nouveau les cheveux et tire sa tête contre lui, pénètre à nouveau sa bouche et sa gorge de son sexe, violemment cette fois... Il se retire, elle manque de tomber haletante, les lèvre un peu baveuses et son maquillage décomposé par les larmes, il la gifle violemment et la déséquilibre, elle se rattrape sur les mains et le regarde, ainsi, à quatre pattes dans la boue, l'air de le supplier d'en finir, de la violer et de la laisser...

Mais tout cela n'est qu'un début, le jeu ne fait que commencer. "
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Vulpès, Propriété de Maître Björn.

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