jeudi 27 mars 2014

Les piercings.

Ma découverte des piercings fut trop prématurée. Par le fait, je n'en ai gardé... aucun.

Mon premier piercing, je l'ai fais à 10 ans, sur le haut de l'oreille droite, afin de susciter l'intérêt de mes copines, faire comme les grandes en somme... Sans en savoir l'impact sur mon corps, sur mon image, geste puérile. Le second fut un piercing à la narine droite... Auquel s'ajouta un voisin, sur la même narine, j'avais 12 ans et je n'ai pas réfléchis non plus.

 Jeunesse en manque de repères ?

Je me suis faite percer le nombril à l'âge de 18 ans, pour mon anniversaire et le même jour, j'ai décidé de me faire percer le téton gauche également, encore une sottise d'enfant qui a envie de crier au monde : Regardez-moi, je suis une adulte ! Intéressez-vous à moi !
(Ceci étant, c'est loin d'avoir marché, d'ailleurs...)

Révolte contre des parents trop stricts ? Trop absents ? Le fait de vouloir être unique et remarquée ?
Une jeune fille perdue qui se cherchait...

Le résultat est que.. Je n'ai plus le piercing au téton droit, ni ceux à la narine... J'ai du prendre en maturité depuis.


Certains ne comprendront pas pourquoi alors aujourd'hui j'ai accepté de me faire percer, et que j'y ai repris goût et envie... J'ai mûri dans ma petite tête de linotte ! Je sais ce que je veux désormais, je le réfléchis avec maturité en analysant le pour et le contre.

Étant assez jeune, je dois également penser à ma vie professionnelle, ma vie sentimentale, ma future vie de mère digne et respectable ainsi que mon futur d'esclave fidèle et déterminée à satisfaire son Seigneur et Maître Björn.

Selon Son envie et la mienne, car Son plaisir était palpable lorsqu'il a découvert mon piercing au téton droit, que j'avais encore à l'époque, j'ai été me faire percer le second téton, sans dissimuler ma joie !

Quelques années plus tard, me voilà, tremblante mais excitée à l'idée que l'aiguille collée à mon oreille la traverse une fois supplémentaire. Ce qui me fera 2 trous sur l'une et 3 trous sur l'autre.

Mais je suis en de bonnes mains, Maître a été formé. Quoique cette lueur de sadisme et de fierté dans ses yeux... En fait non, elle m'excite, me rend fière.
Ceci est une oreille. *sourire*

Comment ma mémoire a t-elle pu oublier une chose pareille alors que le voir avec une aiguille en main me faisait mouiller mes petites culottes. *sourire*
Et surtout... Cette envie de devenir Son œuvre, œuvre d'art ? Peut-être, ou du moins devenir Sa fierté.

A suivre...

Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

Mon test : Les menottes de porte : Lux Fetish Closet Cuffs.

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mardi 25 mars 2014

Le fétichisme, spécialité masculine ?



Je ne suis pas d'accord.
Pourquoi une femme ne pourrait être une véritable fétichiste ?

Personnellement, je le crie haut et fort : Oui, je suis fétichiste, oui, il y a des tenues que je préfères à d'autres, oui, quand il porte certaines tenues je ne sais plus où me mettre, et je suis trempée...
Oui, à ces moments-là, j'ai envie de le supplier qu'il me prenne, qu'il me domine de toute sa magnificence, de toute sa puissance, de toute sa prestance...

Je pense que nous sommes tous, quelque part, fétichiste et que le sexe du fétichiste importe peu sur son désir.

Sa cravache au ceinturon, sa tenue, son allure...

Il n'y a pas que cela, l'odeur du cuir de ses Doc's Martens, je crois qu'il est là mon fétichisme et en second vient la vision.
J'aime me jeter à ses pieds, lécher ses chaussures, les faire briller de milles feux, les lasser quand il m'y autorise, les lui enlever (même si cela me fait mal au cœur, sur le moment) et j'aime aussi lui les cirer en secret... *rougis*
Et ses gants d'interventions... Quand il va faire ses rondes de sécurité. *je fond !*

Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

" OSEZ... Les jeux de soumission et de domination " de Gala Fur.

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Les fantasmes...



" Les fantasmes les plus originaux et les plus pervers sont les fruits de libidos masculines "
- FREUD -

En êtes-vous certain... ?
*sourire*  

samedi 22 mars 2014

Sa possession...



" Qui es-tu ?
Je suis une esclave.
Qu’est-ce une esclave ? 
Une fille qui est possédée.
Pourquoi portes-tu une marque ? 
Pour prouver que je suis possédée.
Pourquoi portes-tu un collier ? 
Pour que les hommes puissent savoir qui me possède.
Qu’est-ce qu'une esclave veut plus que toute autre chose ? 
Plaire aux hommes.
Qui es-tu ? 
Je suis une esclave.
Que veux-tu plus que toute autre chose ? 
Plaire aux hommes... "

 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

"Devenir Sienne", d'Eva Delambre.

Impatience : Quand j'ai su que la douce Eva, que je lisais déjà via son blog, que vous trouverez dans mes liens, allait sortir un livre !
Ses écrits déjà à l'époque, je les lisais en secret et discrètement.
Et je les faisais lire à mon Maître, timidement.


Vous pensez ! J'ai économisé... Et puis et bien dès que j'ai pu, j'ai couru avec mon Maître à la FNAC, je ne tenais pas en place, je le voulais ce livre !

Pour l'anecdote, j'ai du aller timidement le demander à une vendeuse, qui a sourit en voyant sur son écran : Roman érotique, édition Tabou.
Elle a exquisé un nouveau sourire en voyant la pochette s'afficher et en tournant bien l'écran pour faire discrète : - " C'est celui-là ? " 
- ... " Euh, oui. " *rougis*
Elle m'amène au rayon... 
" Voilà, c'est ici Mademoiselle ", et regarde mon collier en partant travaillé, hop clin d’œil au passage. Moi rouge comme une tomate et Maître qui glousse dans son coin, amusé par la situation. 

Le rayon, étant vers le sol, je me baisse, et je saisis donc le livre, tant désiré alors qu'une femme se trouve derrière moi. (Elle était bien plus choquée que moi la mamy *sourire*)

Et Maître en profite pour venir collé sa jambe tout contre moi, il me caresse les cheveux...
- " Tu le veux ma belle ? " 
- ... " Euh, oui Maître... " *rouge tomate stade 2* 
- "Allez, je te l'offre ! " *joie, bonheur total* 
- " Oh merci Maître !! " (Oups dis un peu fort, la vieille est encore plus choquée, je souris, timide et amusée. Maître aussi.)
Je lui serre la jambe, amoureuse, reconnaissante, heureuse... Et lui embrasse le dos de la main.

Une fois en caisse, un homme d'environ la 30ène, remarque mon collier et machinalement ce que j'ai dans les mains. Il sourit, d'envie, d'admiration et peut-être d'envie envers mon Maître, qui me tient par la taille.
La vendeuse, scanne l'article, nous regarde et sourit timidement à mon Maître qui lui rend son sourire, satisfait et nous la saluons.

Quelques jours plus tard : J'ai malheureusement déjà finis ce livre et alors, et alors ce que j'en penses ?

Délicieux ! Exquis ! Je l'ai dévoré ! Nous sommes bien loin des " 50 nuances " et autres livres à l'eau de rose, nous avons du possible, de l’authentique, et nous en voulons encore !


L'histoire : Une employée mariée découvre, guidée par son chef d'entreprise, les plaisirs de la soumission. De simples demandes au bureau, des ordres clairs, le tableau se met doucement en place.
Le jeu ira loin, bien loin, ils se feront de plus en plus présents, jusqu'à ce qu'elle devienne Sienne.

Je n'en dirai pas plus... Afin de vous laissez découvrir, vous ne le regretterez pas !

Allez je vous donne un petit extrait, histoire de vous offrir une mise en bouche :

« — Je me dis que je pourrais relever ta robe jusqu’à ta taille, exhiber tes jolies fesses à tout le monde, et ce qui me fait vraiment bander, c’est de savoir que tu ne dirais rien, que tu te laisserais faire, honteuse, mais excitée.
Je sentis ses mains remonter encore de quelques centimètres avant de s’arrêter de nouveau, j’avais la gorge nouée, le souffle court.
— Je sais comment tu réagirais, tu te collerais un peu plus contre moi, tu cacherais ton visage contre mon épaule, tu fermerais les yeux, peut-être même que tu retiendrais ta respiration quelques secondes. Je suis sûr que tu serais toute mouillée, que tu l’es déjà.
Je ne savais pas quoi répondre, j’ignorais s’il allait le faire ou pas. Cette incertitude, cette attente rendaient la situation effectivement très excitante, mais je ne me sentais pas encore prête pour ce genre d’épreuve. Toutefois, je savais qu’il avait raison, je ne m’y serais pas opposée, c’était la base même de notre relation : je me soumettais à lui, à toutes ses envies, entièrement. »
(Extrait – Devenir Sienne)

 Devenir Sienne, C'est un livre magnifique, que l'on lit facilement. Avec envie, à aucuns moments il ne fait preuve de redondance, à aucuns moments nous ne ressentons de lassitude et une fois la dernière page tournée, l'on regrette de déjà l'avoir terminé !
Un plongeon dans les eaux profondes du BDSM, un plongeon intense et proche de la réalité, bien loin des autres "Nuances" et "Mr Diamonds". Nous voici dans le Véritable, le Vrai.

Car Eva Delambre, n'est pas une simple auteure, mais une soumise, une soumise qui se donne pour de vrai à un Maître.


Disponible ici : Devenirsienne.fr

 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

jeudi 20 mars 2014

Être l'équateur et l'arctique, d'ondes d'une danse...

L'arctique :  Froid...
Le stress, la peur, la panique.

Exercice difficile : Apprendre à danser, sous ses yeux, sous les yeux des autres lorsque l'on est timide, réservée et que l'on déteste attirer l'attention.
Le rouge aux joues, commencer son apprentissage en secret.
Commencer par un strip-tease burlesque, pauvre idiote !
Et se rendre compte que ce n'était pas aussi compliqué qu'il n'y paraissait.

" Une esclave séduit les Hommes, séduit son Maître, séduit par ses charmes... "

Réflexion : Premièrement, travailler la souplesse.
Ensuite s'attarder sur le tempo.
Être désirable et ne pas être provocante et vulgaire.
Charme et élégance !

Le Mulan Quan.


Que je vous laisserai découvrir sur le site de Chrystel : Qi Gong & Mulan Quan.

" Le Mulan Quan est un art martial chinois associant des mouvements de danse traditionnelle et les techniques de Wushu. Son nom rend honneur à l’héroïne chinoise, Hua Mulan. "

J'ai donc opté pour un art martial, pourquoi me direz-vous ?
 Simplement pour l'auto-discipline, le fait de contrôler ses mouvements.
Je suis maladroite, très maladroite, gauche même je dirais... Et je manque parfois d'auto-discipline.

L'équateur : L'objectif : Son sourire, il est satisfait.

Il me faudra du temps pour apprendre... Mais je pense arriver à quelque chose de pas trop mal. 
Souhaitez-moi Bonne chance !

 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

mercredi 19 mars 2014

La douce caresse, sensuelle, de la cire...



" Si lumineuse dans ses espoirs, si effrayante dans le noir... Et pourtant, son Maître seul sait comme elle brule d'envie... "

La première fois, je l'ai fais par pure provocation. J'ai osé tester mon Maître, j'en ai honte aujourd'hui mais j'ai osé le provoquer, jouer à la maligne en lui susurrant qu'il n'était pas capable de cela... C'était à nos débuts, fille rebelle, je voulais me soumettre à Lui mais Ô combien j'adorais le tester, pour qu'Il m'emmène plus loin.

Il a bien versé la bougie sur moi, mais non, pas comme je m'y attendais ! Je ne m'attendais pas à recevoir le contenu d'une bougie chauffe-plat, d'un coup, tout son contenu en pleine poitrine...

Il m'avait encore poussé plus loin, plus loin que je ne le désirais sur le moment, j'étais outrée et pourtant... Je voulais qu'il recommence.
 
Suite à cela... Plus rien pendant longtemps et lorsque j'ai osée évoquer le sujet sa réponse fut sans appel :  " Tu as osée me tester. "


Je laissa tomber l'affaire, par honte, par culpabilité. Beaucoup moins fière d'un coup...



 Ensuite, vint ce jour où sans que je m'y attende, mais alors plus du tout, je senti cette chaleur m'envahir, mordant par endroit, excitante au possible à d'autres...

Et cette envie de le remercier encore, encore et encore.

A ce jour, je peux facilement dire que j'aime la cire, elle m'effraie beaucoup, mais j'aime ces moments, intenses et presque osons-le : Poétiques.

 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

mardi 11 mars 2014

A ses pieds...

" Il lui ôta son verre de la main, lui ordonna de se dévêtir pour se mettre à ses pieds... Elle lui embrassa la main, il lui ordonna de baiser ses chaussures... "

C'était pour elle la première fois qu'un Homme la rabaissait d'un coup de la sorte. Et elle se sentit atrocement excitée, avec cette envie folle de ne pas le décevoir.
Timidement elle a sorti sa langue, le suppliant encore une dernière fois du regard. Son regard à lui était noir, il était sûr de lui.... "Lèches !"

Hésitante, elle approche sa langue de ses chaussures, des docs martens 14 trous. Elle espère naïvement qu'il va lui dire d'arrêter, il n'en est rien. 

Avec l'autre pied il appuie sur sa nuque, la forçant ainsi à entrer en contact avec le cuir fraîchement ciré... "Je t'ai dis : Lèches !"

Timidement elle caresse le cuir, très timidement, surement trop car cela ne lui convient pas. Il lui demande de ne pas faire semblant appuyant plus fermement sur sa nuque... Il est trop puissant pour elle, son mental est plus fort que le sien. Elle cède...

Il a encore gagné, il lui a fait surmonter une de ces peurs, de ces appréhensions...
En passant sa main entre ses cuisses, il la sent trempée... Il sourit.


 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

lundi 10 mars 2014

Poésie de Mai...

Sa tendresse qui fait fondre,
Ses caresses comme un frisson qui la parcourt,
Ses ordres qui font plus encore, fondre...
Son exigence, une joie de tout les instants,
Ses mots comme une permission d'être sa bien-aimée,
Une esclave réclamant ses chaînes...


Dans ce besoin de vous dire qu'elle vous aime,
Malgré la violence de la cravache,
Quand vous lui offrez la permission de vous dénuder,
L'autorisant, de la paume de ses mains à vous caresser... Tendrement.

Pour qu'enfin elle vous offre sa croupe,
Vulgairement tendue, réclamant pénétration brutale,
Réclamant, coup sur coup...
Vos vas-et-vient ou la cravache, elle vous appartient, vous prenez les décisions... 

Elle vous suit,
& le fera... Éternellement !
(Mai 2013 - Vulpès)
 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

Le retour du printemps.


Avec le doux retour du Printemps... Des envies nouvelles me guettent.
  • - L'envie de vaincre ses peurs en extérieur, apprendre à porter les tenues qu'il jugera adéquates.
  • - L'envie de vaincre sa peur de se montrer sur une plage, petit à petit... (String, seins nus...)
  • - L'envie de se surpasser... Nue sous ses yeux, en plein jour.
  • - L'envie de devenir Son œuvre d'art, Sa fierté...
  • - Accepter son corps...
  • - Faire du sport, pour devenir encore plus belle et épanouie. 
Merci à vous Maître
De susciter en moi des désirs nouveaux...
 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

mercredi 5 mars 2014

Se faire épiler intégralement en institut...

Toute soumise/toute esclave se doit d'être la fierté de son Maître, l'on juge le Maître par la tenue de son esclave. 

L'entretien physique de leur compagne... Ce que beaucoup d'hommes (avec un H minuscule) on oubliés... Vive le monde présent ! *Ironie*

Le fait de rendre sa femme (au sens général du terme) belle et désirable, peut faire d'un homme, un grand Homme, un vrai Gentleman, fier de montrer sa propriété aux yeux de tous (et toutes).

Non, en tant qu'esclave je ne suis pas malheureuse, mon Maître m'entretient, veille à ma tenue mentale et physique, me rend épanouie ! 

Donc non, me prosterner à ses pieds n'est pas humiliant, c'est une fierté, un honneur, de lui rendre hommage !

Dans cette catégorie, Maître m'a demandé cette année de commencer à me faire épiler intégralement, et donc terminus pour le rasage ! On passe à la cire et aux bandes bien douloureuses mais Ô combien le résultat en est satisfaisant.

Rendez-vous à 15h30 en institut (Première fois que j'y met les pieds !)...

Tremblante je rentre dans la "cabine", telle une bête qui va limite à l'abattoir (Quelle affaire !) Je me suis rendue malade depuis la veille, je n'ai pour ainsi dire rien avaler, le stress, la peur de l'inconnu...
Peur de souffrir, peur d'avoir encore plus mal qu'avec la cravache ou le martinet...

Après m'être dénudée, Maître est resté dans la pièce, pour me rassurer, c'est très gentil de sa part...
Après m'être dénudée, je m'allonge sur la table et c'est parti pour une séance de couinements à n'en plus finir quand l'esthéticienne s'attaque à mon pubis.

Mais le résultat en valait la peine, une douceur incomparable et comme récompense, une petite bière et un long cunnilingus une fois à la maison ! 
*Heureuse*

Et un petit coup de gueule pour la fin : 
" Le bonheur et la joie de l'appeler Maître, c'est aussi le bonheur et la joie de devenir femme, entretenue et fière de ce qu'elle devient... Modelée à Son image. "


 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

mardi 4 mars 2014

Sa brutalité...

Comme une envie d'exhibitionnisme...
Parfois.

 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

lundi 3 mars 2014

La normalité...



Où commence la normalité et où s'arrête t-elle ?
(Sujet délicat...)

" A mes yeux, lorsque les participants sont d'accord, consentants... Nous sommes dans la normalité.
Lorsqu'une personne, un être-vivant n'est pas d'accord, consentant... Là nait l’anormalité. "

Oui... Mais ! Ce n'est pas tout à fait exact. Le problème reste la manipulation, les problèmes psychologiques, sans se voiler la face, il y en a... Et plus d'un exemple.

Pour illustrer mes mots, je prendrai cet exemple connu.

Le cannibalisme :  Offrir son corps à un cannibale, le désir presque orgasmique d'être mangé ?
Pourtant : Consentit.
Je pense qu'ici nous sommes dans un cas "psychiatrique"... Plutôt que d'offrir son corps à la science dans une envie de "disparaître" (si cela était une envie de mourir), ou plutôt que se suicider, cet homme prend Cette option, pour le moins étonnante. Et son plaisir à rechercher un partenaire est sexuel ?
Je pense qu'un cas religieux, culturel ou sexuel doté d'un minimum de stabilité mental, ne désirerait pas réellement être dévoré !
Ou touche t-on du bout des doigts, le désir symbolique de fin, dans la continuité ?
L'envie de retourner là d'où on vient ? Le ventre...
Est-ce un soucis lié à la mère, un amour trop intense ?

Je ne possède pas de réponse à cela.
Mais pourtant, ils sont consentants tout deux.

Comme dans ce cas :

Armin Meiwes : Qui s'est fait connaître pour le meurtre de Bernd Jürgen Brandes. Perpétré sur une victime consentante, le meurtre avait été précédé et suivi de faits de cannibalisme. Surnommé Der Metzgermeister (le maître boucher) ou encore le Cannibale de Rotenburg, Meiwes a été condamné en à 8 ans et demi de prison, puis, au cours d'un second procès, à la réclusion criminelle à perpétuité.

 Armin Meiwes : Raconté par les talentueux Teutons de Rammstein.

Ou celui-ci : " Dans les années 1920, l’américain Albert Fish, malgré son âge avancé, a violé, assassiné et dévoré plusieurs enfants.
Fish était un cannibale sexuel dans le sens propre du terme et affirmait avoir éprouvé un énorme plaisir sexuel lorsqu’il mangeait un enfant, mais aussi quand il s’imaginait en train de le faire.
Il a même écrit une lettre à la mère de l’une de ses victimes pour lui expliquer combien sa fille avait été succulente ! "

Ma conclusion serait donc : Où est la normalité ? Où commence t-elle ? Où s'arrête t-elle ?
Et comme toujours, nous sommes qui pour juger ?
Ce qui est normal pour l'un ne l'est pas forcément pour tous...

Heureusement parfois... La justice existe.


L'Ultra-violence :

Quel fantasme exactement... Un fantasme est parfois irréalisable, j'avoue qu'une partie de ces fantasmes resteront tels, et c'est bien mieux ainsi pour ma santé ! *rire*

Je pourrais vous écrire des fictions sensationnelles afin d'exprimer ces désirs étranges.

Le désir quand je vois un couteau en Ses mains... Cette envie de la sentir caresser mon corps lorsque je vois la lame briller à la lumière.
Le désir qu'il me gifle parfois sans m'y attendre alors que je n'aime pas cela...
L'envie que je ressens quand je le vois s'entrainer à ses sports de combat...
Le désir lorsque je l'imagine cagoulé, armé, me menaçant, m'ordonnant de lui obéir... Et mon étrange docilité...
 
 Suis-je anormale...
Je ne crois pas, je ne fais de mal à personnes, ni même à moi-même.

 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

Cire, double martinets et lame...

Il la regarde, intensément... Et lui susurre qu'il a aimé, et qu'il a apprécié le final mais qu'il y a aussi d'autres manières de finir en beauté. Elle rougit à nouveau...

Elle comprend qu'il attend qu'elle s'occupe de lui, se qu'elle s'empresse de faire avant qu'il ne le lui demande explicitement. Il la félicite d'avoir deviné.

Elle s'attarde sur des va-et-vient profonds comme il raffole, très profonds et sensuels, sa langue s'enroulant autour de son sexe réclamant, implorant le plaisir qu'elle s'efforce à lui donner.

Elle aime lui faire plaisir, elle adore ça ! Et lorsqu'il passe sa main entre les cuisses de son esclave, il ne peut que s'en apercevoir. Satisfait.

Il finit son verre de Whisky pendant qu'elle travaille ardemment, fière d'avoir l'honneur de le sentir en sa bouche, en sa gorge.

Une fois qu'il eut fini son verre... Elle se tourna dos à lui, cambrée, lui offrant la vue sur son plaisir à elle... Honteuse mais fière elle s'ouvrit sous ses doigts habilles.

Lorsqu'il lui ordonne de monter sur le canapé, cambrée et offerte à son sexe chaud...

Elle tremble de désir, l'envie de le sentir en elle...

Il la taquine un peu avant de la prendre sauvagement, mais un truc est bizarre, c'est trop soft...  Elle l'entend rire, ce petit rire sadique qui cache une idée ma foi sympathique à ses yeux à lui.

Sèchement, il lui demande de ne pas bouger, alors elle ne bouge pas. Elle attend et pourtant malgré ce qu'il se trame derrière elle, elle est sereine.


Une chaleur intense glisse sur son dos, quand elle réalise qu'elle n'aurait pas dû allumer tant de bougies, naïve... Elle aura dû s'en douter ! 

Et son rire à lui, toujours si bon, empreint de sadisme... Elle se sent dégouliner d'envie, il est irrésistible...

Elle a peur, mais elle a tellement envie de lui.

Elle ne les compte plus, elle se serait posé la question auparavant, voir elle lui aurait demandé quand est-ce qu'il comptait en finir, mais actuellement la voilà de plus en plus docile.

Après une vingtaine de bougies, soit dit presque toutes les bougies, la voilà couverte de cire... Par endroit cela lui a fait plus mal qu'à d'autres... Elle a frémit, frissonné, couiné un peu par moment.


Une idée lui vient ensuite à l'esprit, retirer la cire aux doubles martinets.

Les coups s'enchaînent et doucement sa peau apparaît, rougie par la chaleur, étonnement elle n'émet que peu de gémissements, elle s'étonnera d'ailleurs elle-même de tant de résistance par apport à ses débuts.

Elle sent soudain, la froideur de la lame qui la fait frisonner, qu'elle chérit tant, le contraste entre la chaleur de la bougie, la chaleur des mains de son Maître et cette froideur glaciale, mélanger au danger d'une lame... Quelques gouttelettes sur le canapé viennent trahirent le plaisir qu'elle ressent.

Lorsqu’une fois la tâche terminée, il vint faire glisser son sexe en son sein... Elle ne peut retenir ses cris ainsi que la jouissance qu'il lui ordonne...

Merci à vous Maître...
 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.


Burlesque ?


Lumière tamisée, bougies, musique langoureuse... Whisky et porte-jarretelles.

 
 Pourquoi ne pas "jouer" la musique adaptée pendant la lecture ?

Il rentre dans la pièce éclairée par des bougies disposées tout autour de cette dernière, une petite 20ene de bougies.

Il s'assied sur le canapé, whisky à la main et rouge de timidité elle commence son petit "show".
Elle a décidé de franchir un pas et de lui offrir ce qu'il désire depuis si longtemps, un striptease, qu'elle a choisit burlesque !

Elle n'a pas fait les choses à moitié, quelques semaines auparavant, dans le plus grand des secrets, elle s'est empressé d'acheter cache-tétons, porte-jarretelles pin-up, bas résilles de type couture avec la couture rouge... 

Elle doit être aussi rouge que sa robe...

Elle commence à se dandiner, se déplace autour d'une chaise timidement, son courage saisit à deux mains... Elle défait sa robe, la laisse nonchalamment glisser sur ses hanches.
Il découvre ses cache-tétons et son sexe gonfle tout doucement, elle le voit, elle rougit, il sourit comme à son habitude.

Elle continue son spectacle, s'assied sur le coté de la chaise, se lance dans une acrobatie digne des cabarets, la tête presque sur le sol, les jambes en l'air, entrainement de deux semaines pour deux petites secondes, mais apparemment Monsieur en est ravi, c'est tout ce qui compte !

Elle ôte les attaches de son porte-jarretelles, elle tente de le regarder dans les yeux, mais elle se sent aussitôt idiote... Et rougis encore de plus belle.

Tremblante de peur elle s'assied à nouveau afin qu'il ne remarque pas son trouble, et retire ses collants, inspirée par la somptueuse Dita Von Teese, bon dieu ce qu'il lui faut être entrainée !
(Mes respects, Madame Von Teese !)

Pour le deuxième collant, elle pose la pointe de son pied sur la chaise et laisse descendre le collant sensuellement le long de sa jambe.
(Exercice plus facile... ^^)

La musique touche à sa fin, elle n'a pas prévu de final, mais elle aperçoit une lueur dans les yeux de son Maître, comme si il attendait un final particulier alors elle s'avance vers lui, hésitante et se positionne face à lui... 

Agenouillée sur ses talons, les mains posées sur les cuisses, les paumes vers le haut...
Il sourit, satisfait...


La suite, dans le prochain article...

 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.