vendredi 3 janvier 2014

Tout n’est plus que frisson le long de mon échine.



Soudain, il se fait violence...

Il la positionne en " Levrette ", brutalement, sauvagement, de la paume de sa main appuie sur sa chute de rein, la forçant à se cambrer, à s'offrir à ses assauts inquisiteurs. Elle tente de résister mais cette espoir restera vain, car elle n'est après tout, qu'une femme... Bien moins puissante que lui.

Elle décide de se laissé faire et elle l'entend rire un petit coup... Tel l'homme qui a réussit à terrasser une de ces proies. Alors d'un coup elle se sent honteuse mais s'étonne de sentir le long de sa cuisse un fin filet de mouille... Elle rougit discrètement dans l'oreiller.

Alors il la pénètre de toute ses forces, de toute sa virilité et elle remarque soudain qu'elle n'a jamais ressenti une telle pénétration. A sa cambrure de reins arc-boutée par ses soins, elle ressent ses mains, chaudes qui se font fortes de caresses appuyées et son souffle qui commence à s’essouffler de ses ardeurs de mâle... 

Sa main glisse le long de sa cuisse, passe entre ses jambes écartées et vint caresser son clitoris qui doit-elle l'admettre est fortement tendu, dressé, dur, réclamant ses caresses, pourtant il décide de le pincer, de le tapoter et elle a mal... Un étrange mélange de plaisir et de douleur !

En myriades d'émotions, elle est soudain surprise par une pénétration brutale de sa petite auréole... 
Mais, il me met un doigt dans le !!!

Et pourtant, le plaisir si intense qu'elle n'a pas la force de se débattre, à quoi bon... Il ne lui fait pas vraiment de mal.


Elle sait pourtant, ou du moins elle essaie de ne pas penser à ce qu'il risque de faire de son petit corps fragile... 
Il se fait tout à coup plus présent en son intime trou vierge et étroit siégeant entre ses fesses... Elle le sent, ce n'est plus un doigts mais bien deux qu'il a glissé en elle... Mais aucun son, aucune plainte ne sort de ses lèvres... Mise à part de l'humidité...

Il choisit à présent de pénétré ce passage qu'il s'est fabriqué, qu'il a forcé sans qu'elle ne s'y prépare, très brutalement, lui arrachant un cri, elle le supplie mais apparemment il n'y prête guère attention ou alors... Ou alors cela lui plairait ?

Ses va-et-vient, douloureux se font peu à peu agréables, et il le sent... Elle s'ouvre à lui... Quand soudain il jouit, entrainant par son plaisir, le plaisir de sa partenaire de le sentir gonfler en son sein, en sa toute vierge profondeur, virginité qui est sienne désormais...

La voir pleurer, pleurer de jouissance.. L'entendre gémir à en mourir... Là fut son crédo. 


 Vulpès, Esclave & Propriété de Maître Björn.

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